Il était une fois !!!!
L’aube se levait sur le royaume d’Albion, le chevalier maintenait son destrier immobile. Il contemplait le paysage qui s’étendait à perte de vue et où l’horizon se confondait avec le ciel sans nuage ou du millier d’étoiles brillaient de leurs derniers feux.
Pourquoi ce matin malgré la beauté du paysage, le chant des oiseaux accueillant une jour nouveau avait il comme une impression de malaise, pourquoi ses pensées revenaient elles immanquablement vers le visage d’une femme d’une beauté extraordinaire.
Il y a si longtemps qu’il n’avait pas contemplé les tours blanches de Camelot, si longtemps qu’il guerroyait au confins du royaume, qu’il chevauchait à la recherche de quêtes pour la gloire d’Albion.
Mais ce matin devant ce paysage sublime, de se visage si beau il compris qu’il n’avait jamais trouvé l’amour d’une femme, cet amour qu’il avait cherché insciemment tout au long des ses chevauchées.
Il laissa échapper une larme qui en tombant se mélangea à la rosé qui recouvrait sont armure étincelante sous les premiers rayons du soleil levant.
Un mouvement de son cheval le ramena à la réalité, le silence avait fais place à un grondement qui montait de la vallée comme un roulement de tonner annonçant l’orage.
Se dressant sur les étriers il contempla la plaine à ses pieds une horde de Vikings s’apprêtait au combat invoquant leur Dieu en frappant sur leurs boucliers, le combat était proche. Il se tourna vers ses compagnons « l’heure est venu une fois de plus de combattre pour la gloire d’Albion que Dieu vous ai en sa sainte garde.
Le soir tombait le chevalier étendu sur un lit de mousse tenait toujours à la main son épée brisée, son armure portait les traces du combat et du sang s’écoulait d’une large blessure au côté droit Cela ne le dérangeait pas, c’était dans l’ordre des choses il s’avait qu’un jour il tomberait comme tant de ses compagnons.
Mais comme le matin un malaise s’installait au plus profond de son hêtre, de nouveau se visage qui le hantait !!!
Comme sortie de la brume qui descendait un vieillard s’interposa entre lui et se visage.
« Merlin il y a si longtemps !
Bonsoir Messire chevalier vous voilà dans un sale état, mais vous pleuré ? Depuis quand un chevalier de la table ronde a peur de mourir ? alors qu’il a conduit ses troupes à la victoire.
Vous vous fourvoyez Messire Merlin le fin approche et cela ne me fais nullement peur, mais « et il conta les malaises et les visions qui le hantaient depuis l’aube cet amour qu’il avait cherché et qu’il ne connaitrait jamais.
Chevalier est tu sur d’avoir vraiment cherché, n’aurais tu pas au contraire fuis cet amour par de fausses excuses, regarde bien au fond de toi, t’es tu battu pour le garder, le cultiver, le faire pousser comme le ferait un jardinier pour entretenir les plus belles fleurs de son jardin ?
Le voile se déchira, le visage de cette belle inconnue qui le hantait lui apparut plus belle quand dans ses souvenirs enfuis au plus profond de son hêtre. Cette femme qui l’avait aimée il y a bien longtemps, il avait fuis cet amour par peur de livrer un combat de tous les jours afin de lui permettre de grandir, s’épanouir de vivre……
Le chevalier se tourna vers Merlin
Je vois que tu à trouvé la réponse, mais malheureusement j’ai beau faire tous les miracles celui la je ne peut le réaliser, un amour perdu ne se r’attrape jamais, il ne laisse que des regrets il vient vous hanté suite à un regard, un paysage, etc.
Le chevalier ferma les yeux, sa tête s’inclina sur le côté et dans un dernier sanglot expira, une légère brise se leva et commença à sécher les larmes sur son visage. Il avait perdu la seule quête valable celle de la vie qui ne peut être vécu sans amour.
Amis (es) qui chevauchés le soir tombant dans les bois du royaume vous est il jamais arriver d’entendre le bruit des feuilles son le vent ? ECOUTER plus attentivement « ne serais pas les sanglots d’un chevalier cherchant désespérément un amour perdu !!
Amis (es) d’Albion avez vous faites toutes vos quêtes ? N’en avez vous pas oublié une ?
J’ai dis Albion ? mon grand âge me fait perdre la mémoire Cette histoire s’est elle passée à Albion, un autre royaume, la vie est !
J’ai dis la vie pourquoi ? Bizarre cela me dis quelque chose
Bon ou j’en était à oui Il était une fois, mais ça c’est une autre histoire héhé.